Kevin Bellemans, expert-comptable et fiscal certifié chez Pyxis & Co, nous parle de son expérience avec Silverfin. Kevin est présent au sein de la fiduciaire depuis 2015,et a beaucoup participé à tout l’aspect digital de ces dernières année, ce qui est évidemment un tournant très important pour la fiduciaire.

Silverfin comme solution générale

<< Dans l’optique de transition au niveau de Pyxis & co, on a bien entendu travaillé sur plusieurs aspects dont celui des clôtures annuelles et des différents reportings qu’on pouvait faire. C’est donc assez logiquement que nous nous sommes finalement tournés vers Silverfin comme solution générale, qu’on a commencé à implémenter il y a déjà maintenant plusieurs années et qu’on continue d’année en année à essayer de développer au sein de la fiduciaire pour profiter finalement de cette automatisation et des ressources qui sont mises à disposition >>, explique Kevin.

Le lancement du mapping & Silverfin Assistant

Depuis début 2023-fin 2022, Pyxis & Co a commencé à lancer le processus et la migration vers le Silverfin Assistant et a commencé la transition avec l’implémentation du mapping : << C’est une très bonne solution, parce que ça nous permet d’harmoniser finalement nos différents dossiers, d’avoir une structure cohérente en fonction des différents dossiers qui sont repris au niveau de la fiduciaire. Cela nous permet aussi d’encore avancer un petit peu plus loin au niveau du processus d’harmonisation et d’automatisation des clôtures, du calcul d’impôts et de l’établissement des comptes annuels. >>

Selon Kevin, le lancement du mapping s’est pour l’instant très bien déroulé :

<< On a déjà lancé une trentaine de dossiers et on voit déjà les effets positifs par rapport à l’automatisation. On voit qu’on gagne déjà du temps et on a commencé à lancer vraiment toute l’équipe sur le processus depuis maintenant quelques semaines et tout se passe assez bien à ce niveau-là. Je pense que toute l’équipe a vraiment bien assimilé les enjeux et la raison pour laquelle ce travail d’harmonisation est nécessaire. >>

L’avis de Kevin concernant la mise en place du mapping: << Il faut faire très attention parce que le mapping a évidemment été un travail qui est assez important à faire au départ, c’est assez logique, parce qu’une harmonisation comme ça ne peut pas se faire du jour au lendemain. Je pense que la mise en place, lorsqu’on est bien accompagné et structuré, est tout à fait faisable sans perte de temps trop importante, mais il faut quand même se donner les moyens de faire les choses correctement. Nous, par exemple, pour prendre notre cas concret, ce qu’on a essayé de mettre en place au niveau de la fiduciaire c’est une espèce de check-list du mapping, c’est de dire : quand vous rencontrez telle ou telle catégorie ou tel ou tel compte vous allez le mapper dans cette catégorie-là, pour qu’on essaie évidemment d’avoir une harmonie. >>

Une espèce de vérification supplémentaire

La conclusion de Kevin est claire :

<< Maintenant, quand on a réfléchi nous-mêmes à ce processus en fin d’année passée, il y a toujours cette question essentielle qui revient : « Quelle est vraiment l’utilité pour nous ? ». Alors quand on parle du mapping, le premier volet qui était important, c’était le Silverfin Assistant. Quand on a vu les premières démos, on a été tout de suite convaincus.
Pourquoi ? Parce que l’assistant, c’est une espèce de vérification supplémentaire par rapport au travail de clôture qui est fait ou par rapport au travail de reporting mensuel. On sait très bien qu’on peut tous être dans un jour un petit peu moins bon, on peut tous passer à côté de quelque chose, je pense qu’on est tous humains à différents niveaux.

L’assistant, c’est cette phase de vérification supplémentaire dans le dossier, qui va être assez rapide et qui est en ligne avec cette phase d’automatisation et qui va nous permettre de faire des vérifications beaucoup plus rapides et qui va nous donner aussi une certitude complémentaire par rapport à notre dossier. >> explique Kevin.

Kevin est convaincu: << Dans cette optique-là, ça a vraiment du sens parce que ça limite encore une fois le risque d’erreurs et ça rajoute des yeux supplémentaires, par rapport à une clôture annuelle ou même par rapport à un reporting. J’aime bien prendre cet exemple-là parce que le reporting on le vérifie, mais on va le vérifier peut-être dans des détails un petit peu moins importants qu’une clôture annuelle, en fonction du dossier. Et ça peut permettre très rapidement d’avoir un check qui est fait, en plus de ce qu’on peut faire habituellement, et encore une fois de limiter ce risque d’erreurs. >>

Vous voulez en apprendre plus sur l’Assistant Silverfin ? Lisez ici les témoignages de confrères sur la valeur ajoutée du Silverfin Assistant ou testez-le vous-même.